C'est le document qui recense les recettes et les dépenses prévues et autorisées par l'assemblée délibérante.
Lors du conseil municipal du 7 février dernier, le vote du budget s'est déroulé en deux temps :
Pour la section fonctionnement, les prévisions budgétaires ont été prudentes et sont restées sous contrôle avec un taux de réalisation de 75 %. Le bon niveau de la capacité d'épargne (25 %) a permis un autofinancement important des investissements sans recours à l'emprunt. Concernant l'investissement, les deux opérations de rénovation de la salle du Conseil et de l'Espace Jeunesse sont réalisées.
Ce budget répond aux objectifs suivants :
- des dépenses de fonctionnement sous contrôle,
- une masse salariale contenue,
- une prudence dans la prévision des recettes,
- un maintien du gel du taux des impôts locaux,
- une offre de services à la population axée sur la qualité,
- la poursuite du programme d'équipement avec des investissements autofinancés.
La section de fonctionnement est stabilisée à hauteur de 7 375 930 €, soit + 0,52 % par rapport à l'année précédente, ce qui est très nettement en dessous du niveau d'inflation annoncé pour 2013 (+ 1,4 % - Insee).
Les charges à caractère général (1 318 090 €) connaissent une augmentation de 0.69 % par rapport à 2012. La principale explication est l'enregistrement des dépenses de fonctionnement des nouveaux équipements (Espace Jeunesse et l'ensemble « terrain et vestiaires » dédié au football) ainsi que l'augmentation des effectifs des accueils périscolaires et de la restauration scolaire.
Les dépenses du personnel (2 825 000 €) sont maîtrisées avec une évolution de 1.19 % par rapport à 2012.
Parmi les autres charges de gestion courante (490 305 €), les principales dépenses concernent le soutien aux associations (175 500 €), la participation de la Ville au CCAS (80 550 €) et à la Caisse des écoles (22 455 €).
Les recettes de fonctionnement (7 375 930 €) comprennent :
- les impôts locaux (2 446 061 €),
- les dotations de l'Etat pour (1 491 200 €),
- les recettes internes à la commune, revenus liés aux services municipaux (2 469 165 €),
- les dotations de Nantes Métropole (815 310 €),
- les participations des autres partenaires (154 194 €) comme le Conseil Général, la C.A.F., etc…
L'effort d'équipement se poursuit avec une enveloppe de 2 472 002 €. Ainsi 207 541 € sont consacrés à des dépenses engagées en 2012 et 2 264 461 € à de nouvelles dépenses d'investissement.
Elles s'élèvent à 2 863 002 € et comprennent les opérations financières (365 600 €), les restes à réaliser 2012 (207 541 €), les investissements 2013 (2 264 461 €) et les opérations d'ordre (25 400 €).
Elles s'élèvent à 2 863 002 € et comprennent l'épargne (2 088 711.84 €), les subventions (341 558 €), les ressources propres (63 211 €), les recettes d'équipements (89 997 €), l'excédent reporté de 2012 (49 524.16 €) et le produit des cessions (230 000 €).
Au 1er janvier, elle s'élève à 2 166 269 €, soit 355,65 € par habitant et repose pour moitié sur des emprunts à taux fixe et pour moitié sur des emprunts à taux variable.
Le gel des taux maintient la fiscalité communale aux niveaux suivants :
- taxe d'habitation : 18,22 %,
- taxe sur le foncier bâti : 24,57 %,
- taxe sur le foncier non bâti : 72,41 %.
Au 1er janvier, elle s'élève à 2 166 269 €, soit 355,65 € par habitant et repose pour moitié sur des emprunts à taux fixe et pour moitié sur des emprunts à taux variable.
Le gel des taux maintient la fiscalité communale aux niveaux suivants :
- taxe d'habitation : 18,22 %,
- taxe sur le foncier bâti : 24,57 %,
- taxe sur le foncier non bâti : 72,41 %.